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Vu du Donon
28 novembre 2013

Promesses sans lendemain

"Alors que le chef de l'Etat a fait de l'inversion de la courbe du chômage à la fin de l'année un marqueur de sa politique, la parole présidentielle était d'autant plus attendue que certains dans la classe politique doutent qu'il puisse y parvenir durablement."La bataille" contre le chômage "se

hollande___aubervilliersfera mois par mois" et "prendra tout le temps qui est nécessaire", a-t-il déclaré lors d'un déplacement à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), alors que personne ne le regarde.

"Il faut inscrire durablement, mois par mois, cette tendance à la baisse" et pour cela "il faut redoubler d'efforts", a-t-il ajouté, annonçant une intensification des contrats de génération, dispositif en faveur de l'emploi conjoint des jeunes et des seniors dans les entreprises."

Ces propos de F. HOLLANDE à Aubervilliers montrent bien que le chef de l'Etat ne croit pas lui-même à sa promesse. Il ne faut pas oublier que les fameux contrats de génération sont financés artificiellement par les contribuables, les impôts qu'ils paient et les charges qu'ils paient en plus.

Rappelons-nous aussi qu'un emploi durable, est inscrit dans la création de richesse et la production et surement pas dans des mesures artificielles qui ne durent que quelques mois grâce à des aides payées par l'Etat.

Le chômage reculera lorsque la production augmentera et que la consommation des ménages reprendra. C'est une question de confiance entre les partenaires et, malheureusement aujourd'hui, plus personne ne fait confiance à HOLLANDE, ni à la gauche. Le gouvernement a démontré qu'il est accroché à des vieux principes qui datent de 1981. Ils ont fait la preuve de leur inefficacité. HOLLANDE, AYRAULT et SAPIN ont perdu la partie mais ils s'accrochent à leur fonction pour la gloire. Cela ne fait pas l'affaire des plus de trois millions de chômeurs et de leur famille.

 

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Commentaires
L
Pour ne parler que des chiffres du chômage et non des gens qui le subissent. Il faut prendre les chiffres hors emplois aidés pour avoir un reflet un peu plus fidèle de la réalité. Mais ce qui compte c'est la différence entre emplois créés et emplois perdus. Et la bonne courbe c'est celles où les premiers montent. Les chiffres du chômage peuvent baisser artificiellement (retraites, emplois aidés, radiations...) plus vite que la suppression d'emplois. Est-ce là un renversement de tendance ?
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