Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Vu du Donon
16 mars 2010

Une deuxième chance pour voter juste.

La loi prévoit que les élections régionales se font sur deux tours si, au premier, aucune liste n'a obtenu la majorité de 50 % des voix. C'est le cas dans 25 régions sur 26. Nous allons donc retourner au bureau de vote dimanche prochain. Comme il s'agit d'élections avec une bonne dose de proportionnelle, on pourrait s'interroger sur ces deux tours. D'autant plus que les candidats sont assez proches des électeurs, donc assez connus pour la plupart et qu'une semaine de campagne électorale de plus n'est pas déterminante pour les choix à faire.

Sans doute que, dans le cas d'une forte abstention, le deuxième tour permet aux électeurs de prendre au sérieux leur devoir de citoyen; c'est un peu triste mais cela ressemble aux parents qui sont obligés de dire deux fois à leurs enfants d'aller ranger leur chambre. Alors, au deuxième tour, allons voter en masse. Ne pas voter, cela revient à donner l'avantage à l'autre.

regionsLa région, est-ce si important ? Souvenons-nous que la régionalisation est le fruit d'une constatation toute simple : ce qui se fait au plus près du citoyen, a plus de chances d'être bien fait et de correspondre mieux aux aspirations des Français. Les lois de décentralisation ont traduit cette vérité dans la réalité. Tout n'est pas parfait ? C'est une évidence dans un pays qui était centralisé depuis des siècles et qui apprend petit à petit à donner des responsabilités aux niveaux proches des citoyens.

Il faut donc travailler à rendre la région plus efficace, plus dynamique et plus responsable. Les mieux placés pour le faire, sont évidemment ceux qui ont la pratique d'une bonne gestion démocratique. Aussi bien Marcel RUDLOFF qu'Adrien ZELLER, avec leurs équipes, avaient fait du bon travail. Avec Philippe RICHERT, nous sommes dans la même réflexion, celle qui mène à l'action et prépare l'avenir. Nous avons vu son travail et ses méthodes au Conseil Général et au Sénat, nous ne risquons pas de partir à l'aventure avec Philippe RICHERT et sa liste de candidats (voir mon article du 7 mars).

Publicité
Publicité
Commentaires
Vu du Donon
Publicité
Vu du Donon
Newsletter
Archives
Publicité